Qu'est-ce que tu veux faire plus tard?
Recherche désespérément choixpeau magique pour déterminer la spécialité qui me correspond
"Les deux choix les plus névrotiques de notre existence, le choix du métier et le choix du conjoint" - Boris Cyrulnik
Après m'être imaginée devenir successivement:
- médecin de santé publique ('la médecine qui a un véritable impact: celle des populations')
- psychiatre ('la noble médecine')
- mère au foyer ('à quoi bon continuer?')
- réanimatrice ('c'est vraiment eux qui sauvent des vies')
- infectiologue ('pour contrôler épi- et pandémies à l'OMS')
- gynécologue, le temps de deux accouchements ('le miracle de la vie')
- ophtalmologue (oui oui oui, sauf la chirurgie)...
- ophtalmologue (oui oui oui, sauf la chirurgie)...
C'est la radio qui l'emporte, un peu par élimination.
J'envie ceux qui savent rapidement et intuitivement ce qu'ils souhaitent faire. J'ai passé ma dernière année de médecine sans objectif fixe et il m'aura fallu des heures de conversations et de lectures pour aboutir à un choix 'par défaut'.
Je ne cherche pourtant pas à fuir la clinique; je me demande même ce qu'offre la radio en contrepartie de la perte du contact avec le patient! Je ne suis pas férue de technologie, et les programmes de Master 2 en physique ou bio-ingéniérie ne m'ont pas l'air très affriolants! La perspective de passer les journées derrière un écran, c'est plutôt médiocre!
Mais l'aspect transversal et diagnostique m'attire (le mode de vie et le côté 'médecin de médecins' aussi), et faute de pouvoir me projeter dans une autre spécialité, c'est celle qui prévaut.
Et voilà, c'est parti pour un internat de radio à Paris!
Je ne cherche pourtant pas à fuir la clinique; je me demande même ce qu'offre la radio en contrepartie de la perte du contact avec le patient! Je ne suis pas férue de technologie, et les programmes de Master 2 en physique ou bio-ingéniérie ne m'ont pas l'air très affriolants! La perspective de passer les journées derrière un écran, c'est plutôt médiocre!
Mais l'aspect transversal et diagnostique m'attire (le mode de vie et le côté 'médecin de médecins' aussi), et faute de pouvoir me projeter dans une autre spécialité, c'est celle qui prévaut.
Et voilà, c'est parti pour un internat de radio à Paris!